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PARAMETRES D'ENCODAGE D'UN FILM CERTIFIE DMP (05.07.2004) |
Format |
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V I D E O |
Codec |
DivX Pro 5.2 de DivXNetwork / WMV9 de Microsoft / RV10 de Real VP6.2 Video de On2Technologies / XviD (libre) / Theora (libre) (Sortie en 2005 : Quicktime AVC d'Apple / Nero Digital Video d'Ahead) |
Paramètres Compression |
1-pass quality-based - Strong Psychovisual Enhancements Pre Processing Source Off - Max Keyframe interval 250 frames Scene change threshold 50% - Slowest Performance/quality Encode as progressive (désentrelacement sélectif via Detramax) No Quarter Pixel - No GMC - Bidirectional Encoding |
Quantizer |
7 (80%) |
5 (87%) |
4 (90%) |
4 (90%) |
1.33:1 Format 4/3 |
192 x 144 (NTSC : 160 x 128) |
384 x 288 (NTSC : 320 x 240) |
720 x 544 (NTSC : 640 x 480) |
1024 x 768 1280 x 960 1440 x 1080 1920 x 1440 |
1.66:1 Panoramique Super 16 |
208 x 128 (NTSC : 192 x 112) |
432 x 256 (NTSC : 368 x 224) |
720 x 432 (NTSC : 640 x 384) |
1024 x 608 1280 x 768 1440 x 864 1920 x 1152 |
1.77:1 Format 16/9 HDTV |
224 x 128 (NTSC : 192 x 112) |
448 x 256 (NTSC : 368 x 208) |
720 x 400 (NTSC : 640 x 360) |
1024 x 576 1280 x 720 1440 x 816 1920 x 1088 |
1.85:1 Panoramique |
240 x 128 (NTSC : 208 x 112) |
448 x 240 (NTSC : 384 x 208) |
720 x 384 (NTSC : 640 x 352) |
1024 x 560 1280 x 688 1440 x 784 1920 x 1040 |
2.35:1 Cinémascope Super 35 |
256 x 112 (NTSC : 224 x 96) |
512 x 224 (NTSC : 448 x 192) |
720 x 304 (NTSC : 640 x 272) |
1024 x 432 1280 x 544 1440 x 608 1920 x 816 |
Cadence |
12,5 ou 25 im/s 12 ou 24 im/s (15 ou 29,97 im/s) |
25 im/s 24 im/s (29,97 im/s) |
25 im/s 24 im/s (29,97 im/s) |
25 im/s 24 im/s (29,97 im/s) |
A U D I O |
Codec |
MP3 Pro de DivXNetwork / WMA9 de Microsoft / RA10 de Real VP6.2 Audio de On2Technologies / Ogg Vorbis (libre) Quicktime AAC d'Apple / Nero Digital Audio d'Ahead |
Débit |
32 kbps (3,91 Ko/s) |
80 kbps (9,77 Ko/s) |
128 kbps (15,63 Ko/s) |
192 kbps et + (23,44 Ko/s et +) |
Canaux |
mono (1) |
stereo (2) |
stereo (2) |
stereo et + (2 et +) |
Quantification |
16 bit |
16 bit |
16 bit |
16 bit |
Echantillonnage |
24,000 kHz 22,050 kHz |
32,000 kHz |
48,000 kHz 44,100 kHz |
48,000 kHz 44,100 kHz |
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QUALITE CONSTANTE, DEBIT VARIABLE... |
Les formats présentés ici n'indiquent pas de débit vidéo car ils sont basés sur un encodage à qualité constante. Ceci signifie que le débit vidéo s'adapte au contenu et à la dynamique de chaque film. Par exemple si une vidéo comporte un montage lent enchaînant des plans fixes au contenu très statique, alors le débit nécessaire pour obtenir une bonne qualité d'image sera très faible. Au contraire, si une vidéo est très dense au niveau montage et chargée en plans en mouvement, alors pour obtenir une qualité d'image équivalente, le débit devra être bien plus fort.
Un débit extrêmement variable empêche toute prédiction de la taille que fera un film une fois traîté, mais l'avantage de l'encodage à qualité constante est qu'il est effectué en une seule passe (encodage rapide) et permet de s'assurer que la qualité d'image obtenue sera la même durant tout le film, ce qui est bien là l'exigence du DMP. |
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4 FORMATS D'ENCODAGE |
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Ce format est surtout destiné aux petites connexions tout en offrant, avec sa petite taille et malgré le faible débit qu'il génère, une bonne qualité d'image et de son. Il permet aussi, avec une connexion haut débit, la prévisualisation rapide d'un film. Enfin il est tout à fait compatible avec les téléphones portables et les agendas électroniques type PDA... mais selon les modèles d'appareils il est préférable de réduire la cadence d'images par seconde par 2 lors de l'encodage. |
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Optimal pour le téléchargement de films sur internet, ce format offre une taille confortable d'image et permet aussi une excellente qualité de restitution vidéo et audio. Le débit généré par l'encodage à qualité constante se situe environ entre 400 et 800 kbps selon la complexité des informations à encoder, ce qui est proche des connexions haut débit actuelles et permet donc un téléchargement dont la durée sera approximativement celle du film. |
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Ce format reprend la résolution native des films tels que disponibles sur un DVD video. La base horizontale étant fixée à 720 pixels, il ne reste plus qu'à écraser verticalement l'image pour obtenir le bon ratio entre largeur et hauteur relatif au format d'origine du film. Le degré de qualité exigé par la norme DMP fait que ce format offre toute la beauté d'image et la richesse du son que l'on peut obtenir avec une platine DVD video de salon... mais avec un débit jusqu'à 5 fois inférieur ! |
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L'avenir appartient à la Haute Définition. Celle-ci commence à envahir les écrans télé américains et japonais, elle est déjà présente dans le cinéma et sera le fer de lance du HD-DVD, l'un des prétendants à la succession du DVD video actuel. Pour répondre aux exigences de demain et parce que les contenus HD se développent exponentiellement, la norme DMP intègre ce format qui permet l'encodage en haute définition tout en préservant une qualité d'image et de son exceptionnelle. |
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IMAGE |
Pour les formats "mini" et "web", les tailles des images ont été définies de manière à ce que la surface en nombre de pixels soit constante quel que soit le rapport largeur sur hauteur. Le format "mini" se base sur environ 28500 pixels contre 111500 (4 fois plus) pour le format "web". Les formats "DVD" et "HD", quant à eux, partent d'une largeur d'image constante (720 pour le format "DVD", 1024, 1280, 1440 ou 1920 pour le format "HD") et donc produisent une hauteur et une surface en nombre de pixels variables selon le rapport largeur sur hauteur utilisé.
Les tailles en pixels ont été déterminées mathématiquement à partir du nombre de pixels disponibles pour couvrir la surface de l'image (pour "mini" et "web") et en fonction du rapport largeur sur hauteur défini par les formats standards (1.33 - 1.66 - 1.77 - 1.85 - 2.35) tout en respectant le fait que la dimension des images devait être égale à un nombre de pixels multiple de 16 (ce qui améliore grandement la pertinence des encodeurs qui se basent pour la plupart sur des blocs de 16x16 pixels). |
SON |
Le débit lié aux informations sonores est de 32 kbps en format "mini", 80 kbps en "web", 128 kbps en "DVD" et 192 kbps (ou plus pour les encodages au-delà de la simple stéréo) en "HD". Pour permettre de conserver une qualité subjective d'écoute, en "mini" et "web" les fréquences d'échantillonnage sonore sont diminuées, enfin en "mini" la stéréo est abandonnée au profit du mono. Notons que dans tous les cas la quantification se fait toujours sur 16 bits par voie, ceci dans le but de conserver le maximum de dynamique des signaux sonores à laquelle l'oreille humaine est très sensible. |
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CODECS |
Ce sont donc les codecs DivX Pro 5.2 et MP3 Pro de DivXNetworks qui ont été choisis pour l'encodage des films certifiés DMP en vue de leur téléchargement sur le site de ZARF PROD. Le DivX est basé sur la norme MPEG4, ce codec est lu sur un nombre très important de solutions software et hardware et il offre une qualité optimale.
Dans la course aux codecs vidéo et après plus de 560 tests d'encodage, le WMV9 de Microsoft, le RV10 de Real, le VP6.2 Video de On2Technologies, le XviD et le Theora ont démontré qu'ils représentaient tous des alternatives de qualité elligibles par la norme DMP. Le Quicktime AVC d'Apple et le Nero Digital Video d'Ahead, basés tous deux sur le H.264 (ou MPEG4-Part10), sortiront en 2005 et sont déjà à ajouter à la liste des codecs supportés par la norme DMP en matière d'encodage.
Il existe aussi un nombre impressionnant de codecs audio venant se coupler aux codecs vidéo cités plus haut, le WMA9 de Microsoft, le RA10 de Real, le VP6.2 Audio de On2Technologies, le Ogg Vorbis, le Quicktime AAC d'Apple et enfin le Nero Digital Audio d'Ahead. Tous ces codecs offrent une qualité d'encodage et de restitution meilleure que le MP3 Pro de DivXNetworks, mais ce dernier est, de part son succès, une valeur sûre pour la compatibilité logicielle et matérielle. |
DESENTRELACEMENT |
Avant de subir un encodage progressif, les sources vidéos des films sont au préalable désentrelacées via le système Detramax développé par le ZARF LAB. Le désentrelacement mis à disposition par les logiciels de compression est systématiquement refusé par la norme DMP, effectivement il n'est pas concevable de désentrelacer un élément fixe ajouté en post production (logo, titrage) et de la même manière, un montage vidéo entrelacé contient toujours des plans intégrant des parties d'image fixes où la définition intégrale produite par les 2 trames peut être sauvegardée. |
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LECTEUR |
Le lecteur préconisé par ZARF PROD pour lire les fichiers DivX MP3 au format ".avi" est Video Lan Client Media Player. Ce lecteur a été créé à l'origine par des étudiants de l'Ecole Centrale de Paris et est aujourd'hui soutenu par les développeurs de plus de 20 pays différents. Il assure la compatibilité d'un nombre impressionnant de formats, permet la lecture d'un fichier en cours de téléchargement ou en cours d'encodage et surtout son installation est possible sur tous les OS génériques connus (à l'exception de Mac OS 9) ainsi que sur d'autres OS plus marginaux. Mais rien n'empêche la lecture des fichiers encodés via votre lecteur DivX habituel, de préférence à jour. |
CONTAINER |
C'est le container "avi" qui a été choisi pour imbriquer la piste vidéo DivX avec les pistes audio MP3. Les fichiers à extension ".avi" sont lisibles sur la majorité des lecteurs informatiques et matériels et offrent pour l'instant plus de compatibilité que les containers ".mov", ".divx", ".ogm" et ".mkv". |
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